Conférences

Par Jacques Pelegrin, directeur de recherche émérite au CNRS (UMR 8068 TEMPS « Technologie et Ethnologie des Mondes PréhistoriqueS »)

Dès leur découverte en 1874 à l’état d’un paquet enfoui isolé, les « pointes de Volgu » apparurent comme des vestiges extraordinaires de la Préhistoire, ce qui les sauva de la dispersion. 

Par Pierre Bodu, UMR 8068- TEMPS, Chargé de recherche hors classe - CNRS, Responsable des fouilles du gisement d’Ormesson (77)

Si la vallée de la Vézère est incontestablement l’un grands centres patrimoniaux, portant même le titreévocateur de « capitale de la préhistoire », des territoires plus septentrionaux n’ont pas à rougir de leurpotentiel préhistorique.

Par Jean-Claude Leblanc et Catherine Ferrier

Le feu, source de lumière et de chaleur, a été un élément central pour les groupes humains préhistoriques et a favorisé les comportements sociaux. Il a été indispensable pour la fréquentation du monde souterrain à des fins symboliques. L’archéologie expérimentale nous permet de mieux comprendre les différentes gestions et usages des feux dans les grottes profondes.

Samedi 10 février à 18h30

Par João Zilhao, Docteur en Préhistoire et Géologie du Quaternaire de l’Université de Bordeaux I, responsable scientifique de la Fundação Côa Parque, institution qui gère le Parque archéologique de la vallée du Côa et son Musée, en charge de l’étude, de la conservation et de la divulgation de l'art paléolithique et de son contexte. Conférence organisée en partenariat avec la Société des Amis du Musée et de la Recherche Archéologique (SAMRA).

With Sibylle Wolf1,2 and Benjamin Schürch21 Senckenberg Centre for Human Evolution and Palaeoenvironment at the University of Tübingen, Germany2 Working Group of Early Prehistory and Quaternary Ecology of the University of Tübingen, Germany 

The Swabian Aurignacian (ca. 42 000 – 35 000 years before present) is especially known for the figurative artworks and personal ornaments made from mammoth ivory as well as the early musical instruments made from mammoth ivory and bird bones.

Par Natacha Caurette, Doctorante à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre des laboratoires de recherche UMR 8068 TEMPS et UMR 7264 CEPAM, spécialiste des études fonctionnelles sur les outils paléolithiques en silex et en os

Au Paléolithique, les populations de chasseurs-cueilleurs nomades se servaient des peaux animales pour se vêtir,s’abriter des éléments, transporter leurs biens et créer des objets utilitaires.